Les ruelles obscures du forum (âmes sensible s'abstenir )

une petit floodage rpg :

Le rpg, c'est simple on joue un personnage XD on suis le code suivant :

Action : italique (à la 3ème personne )
Parole : gras
Pensée : entre *
Hors jeu entre ()

Bon là y'a pas de règle ! dans le monde du flood tout est permis !!!

Zaya marchait dans les obscures et désertes ruelles du forum, la pluie, car il plauvait, dégoulinait le long de ses cheuveux. Elle marchait avec détermination, bien que n'ayant aucun but précis...


(Halala, c'est beau, quel talent...)

Zaya regardât un instant cet étrange personnage, c'était bien la première fois qu'on continuait à lui parler après qu'elle ait "tout coupé". Elle observa attentivement cette fois ce "monsieur", et, après mure réflexion, déclara :
Je pense que ça dépasse encore un peu trop.
Là-dessus, elle sortit une tronçonneuse dépliable de son manteau (le couteau n'était pas assez efficace pour ce genre de chose) et donc avec la tronçonneuse, tronçonnât bras et jambes de l'inconnu.
Puis elle repartit, un petit sourir aux lèvres...

[O_o dis-donc ça vire au sado-maso ]

(plutôt sadique mais effectivement)

*et merde je vais crever seulement après trois message*

Il colla son sexe contre l'orrifice qu'il réstait après le tronconnnage de zaya avec ces dents et attendit que sa cicatrise

Mais tout à coup, alors que Zaya observait de loin, avec un sourire sadique, le pauvre malheureux pédophile qui se tortillait de douleur, Mister Oboloc déboulat d'une ruelle obscure.
Il avait accouru après avoir entendu des cris inhumains. En voyant la scène, il eut une grimace d'horreur. Devant lui se déroulait un immonde spectacle, et pourtant il ne put s'empêcher de compatir avec la chose sanguinolante qui tenait sa virilité entre ses dents, soilidarité masculine oblige.
Il se tourna vers Zaya qui s'était approchée, ne voulant pas fuir et assumant parfaitement ses actes sadiques. Oboloc, en la voyant sortir de l'ombre, sortit son portefeuille de sa poche et le lui montra : une étoile épinglée dessus brillait sous l'éclérage du lampadaire.
-Police ! lança-t-il.

*Oh ^^ la police ça faisait longtemps. On va bien s'amuser...*
Zaya, à cette pensée, sourit de plus belle. Enchantée, dit-elle assez fort pour que le policier l'entende, moi c'est Zaya, tueuse en série ^^. Comment se portent les forces de l'ordre en ce moment ?
Zaya avait beau être une meurtrière, elle n'en oubliait pas les formules de politesse.

Oboloc écquarquilla les yeux. La grimace sadique qui se dessinait sur le visage de la jeune femme était effrayant.
Il comprit en un clin d'oeil que Zaya n'avait pas l'intention de fuir, mais plutôt de s'amuser avec lui, comme avec le pauvre pédophile qui gisait sur le trottoir dans un bain de sang. Décidant d'entrer dans son jeu pour gagner du temps, il se présenta à la tueuse, comme elle l'avait fait :
Je suis moi aussi enchanté répondit-il ironiquement, moi c'est Jérémy Oboloc, policier de son état^^. Comment se porte le monde du crime en ce moment ?
Il rangea son portefeuille et, en un éclair, dégaina son pistolet et le braqua sur son interlocutrice. Il tenait maintenant en joue la psychopate sadique. Puis, sur un ton provocateur, il l'interpella :
Alors ? Je crois bien que le monde du crime va être amputé d'un membre !
Et il eut un petit rire amer en jetant un coup d'oeil au cadavre cul-de-jatte.

Zaya regardait le policier, elle le fixait même, elle ne souriait plus mais gardait un visage impassible.
*Il a de drôles de manière... *
- Pour le monde du crime, je dois dire que les dealers ont quelques problèmes en ce moment, sinon tout vas bien. Pour ce qui est d'amputer... je pense que l'autre est plus calé dans ce sujet... Pour le reste qu'allez-vous faire ? Me déscendre ? Je suis peut-être tueuse en série mais je e suis pas une débile psycopahte...
Zaya marche lentement vers Oboloc jusqu'a se retrouver à dix centimètre de son pistolet. elle le regarda dans les yeux...

Oboloc pencha la tête sur le côté, plongeant ses yeux dans le regard brillant de la tueuse. Il recula d'un pas, puis de deux, gardant toujours son arme pointée vers elle.
Puis, ayant pris un peu de distance, il emtrprit de détailler le physique de la jeune femme. *Plutôt pas mal, pour une serial-killer* Puis il scruta son visage impassible. Celui-ci n'était qu'à moitié plongé dans l'ombre, un lampadaire capricieux éclairant par intermittence l'autre moitié. En effet, comme elle le disait, elle ne semblait pas vraiment folle. *Est-ce que...? Pourquoi pas...* Un sourire vint se poser sur les lèvres d'Oboloc.
Il avait beau être flic, il n'en était pas moins tenté par l'aventure. Cela faisait longtemps qu'il ne s'était pas accordé une petite folie, au moins depuis la fin de ses études, 3 ans auparavant, c'était peut-être l'occasion de faire une entorce au règlement.
Fasciné par l'idée même de son projet, il fixa intensément Zaya puis abaissa son arme. Prenant tout à coup l'air enjoué, il lui lança, sur un ton banal :
Ca te dirait de venir dîner avec moi ce soir ?

Bien qu'elle n'en laissa rien paraître, Zaya fut tout de même surprise par l'attitude d'Oboloc, c'était bien la première fois qu'un flic invitait un tueur en serie à dinner...
*Un flic schizophrène ? Ou alors il m'emmène dinner au poste ?...*
- Je dois dire que c'est interressant comme situation mais... que comptez vous faire pour ce truc ? Dit-elle en désignant le "truc" qu'était maintenant le pervert.
-Enfin, de toutes façons je ne pense pas que ce soit possible...
Toujours d'un pas lent, Zaya se dirigea vers une ruelle latérale, elle emprunta une échelle de secour à l'envers et réapparut bientôt sur le toit...
- Adieu M. Oboloc !

Adieu M.Oboloc ! fit Zaya.
Mais alors qu'elle lançait sa réplique finale, elle s'apperçut que la ruelle en contrebas était déserte, seul restait sur le bitume la chose morte. Un bruit derrière elle attira son attention.
Oboloc avait surgi par l'échelle de secours, l'arme au poing. Il tira trois coups, mais aucun d'eux n'atteignit sa cible. *Merde! J'aurais dû être plus assidu à mes séances de tir* Ne voulant pas laisser s'échapper sa proie, il se lança à sa poursuite.

Zaya ne fut pas vraiment surprise par le fait qu'il n'y avait personne en bas, mais elle n'aprecia pas vraiment qu'on lui tire dessus, cependant elle répondit neutrement.
- Hé ! Pourquoi vous me tirez dessus ? Je sais que vous aller me dire que je suis une criminelle en fuite mais si on considère que vous ne m'avez pas dit de m'arrêter... Il n'y a pas de fuite non ?
Zaya attendait la réponse d'Oboloc, elle luttait contre l'inquiétude qui la gagnait, elle n'avait pas vraiment envie de s'en prendre au policier, ce serait en dernier recours...

Arrêtez ! lança Obloloc. Maintenant vous êtes en fuite, sourit-il.
S'approchant de la tueuse, le flingue pointé sur son crâne, il sortit ses menottes avec un cliqutis qui résonna dans la nuit silencieuse.
Si vous ne voulez pas finir avec une balle entre les deux yeux, vous feriez mieux d'agir en douceur. Laissez-moi vous passer les menottes et tout se passera bien.
Il haussa un sourcil, l'air interrogateur. Allait-elle tenter de fuir ou continuerait-elle le petit jeu ? En tout cas, il était sûr qu'elle ne se rendrait pas sans histoire...

Oboloc resta un instant immobile. En quelques secondes elle avait disparu de son champ de vision sans qu'il ait le temps de réagir.
Il réfléchi un instant. "La cheminée. Elle est à l'intérieur. Elle va ressortir par en bas...Je dois descendre" Il avisa un buisson en contrebas et, sans même hésiter, il s'élança du haut des deux ou trois étages qui le séparaient du sol.
Sa réception fut plutôt bonne. La chute raviva simplement une vieille douleur dans le tibia, souvenir de ses années de lycée où il jouait les casse-cous.
Il observa les alentours. Personne. Du moins en apparence. Il se trouvait dans le parc du quariter, peuplé d'arbres imposants et de fourrés fournis. Les éclairages croisés d'un lampadaire, de la lune mourante, et du soleil naissant, produisaient un jeu d'ombres entre la végétation et les bâtiments qui rendait difficile la perception des mouvements. En plus, une brise matinale agitait de temps à autre les feuillages, laissant croire à une présence.
Dans ce flou ambiant, le flic se sentait peu à l'aise .
"Elle est sûrement encore à l'intérieur" pensa-t-il en se calfeutrant dans un coin sombre, derrière d'un banc, camouflé par un parterre de fleurs.

Zaya allait sortir par la porte, elle se rendit compte de son erreur quand elle aperçut Oboloc, de dos près d'un buisson.
*Biiiip, erreur de débutant !*
Zaya se mit à courir en direction de la route, l'herbe camouflant bruit de ses pas, elle passa derrière les arbres du parc pour éviter les éventuels coups de feu.

Alors que Zaya courait entre les arbre, elle endendit un coup de feu qui fut suivit par une violente douleur au bras.
*Ouf, c'est pas la jambe ! ... ... ... ... ... ... aïe !*
La balle ne l'avait qu'effleurée mais avait tout de même laissé une profonde entaille. Zaya continua de courir sans s'arrêter, elle arriva à la route, les rayons du soleil était de moins en moins supportables, Zaya avait l'habitude de vivre la nuit. Elle se dirigea sans hésiter vers la plaque d'égout la plus proche qu'elle ouvrit, non sans raviver la blessure, avant de sauter dans la canalisation sans prendre la peine de refermer l'entrée.
*Beurk, c'est bien la seule chose du sous-sol à laquelle je ne m'habiturait jamais...*

Vraaooouuuuummmmm. Un bruit de voiture américaine du type 6tonnes pour 50cv crissant sur le bitum se fit entendre. La portière s'ouvrit et un grand personnage habillé en noir et bordeau en sortit. Il portait des lunnettes noires, des vetements larges,et un grand tatouage satanique lui couvrait le visage. Un serpent sortit de son dos et fixa le policier qui venait d'apparaitre.Sans se préoccuper de lui le nouveau venu aida zaya à sortir de trou où elle s'étit planquée.
"Allez vient vite, et essaye de te controlez, je veut pas que tu tente de te faire hara-kiri comme à chaque fois que tu est obligé de t'enfuir."
Le grand personnage du nom d'Eriel fit entrer Zaya dans sa voiture et démarra d'un coup, non sans laisser un souvenir au policier en la personne d'un couteau empoisonné dans la jambe.

Jérémy Oboloc était resté figé. Comment ce type savait-il qu'il avait une phobie des serpents ? Etait-ce une coïncidence ? Ou alors était-il très bien renseigné ?
Le serpent était parti avec l'américaine 50cv, mais il lui restait son poison dans le molet. Il retira précautionnesement le couteau, du bout des doigts pour ne pas abimer les éventuelles empreintes que l'autre type aurait laissé.
Sortant de sa poche un petit sac en plastique, il y glissa l'arme, puis se laissa tomber sur le trottoir. Il observa un instant l'entaille qu'avait laissé le poignard empoisonné. S'il ne faisait rien, la substance tueuse n'allait pas tarder à faire son effet et, s'il avait bien reconnu l'espèce du serpent, il serait paralysé dans moins de 20 minutes, et mort une heure après.
Il arracha un pan de sa manche, l'enroula autour de sa blessure, et fit un noeud bien sérré pour arrêter l'émoragie.
Il se leva et commença à marcher vers le centre ville. Un commissariat s'y trouvait et ses collègues auraient tôt fait de trouver de l'aspi-venin dans une trousse de secours...
"Et merde!" jura-t-il. Des badaus commençaient à sortir de chez eux et lui jettaient d'étranges regards. Normal. Sa jambe était en sang, son visage était égratigné et sa manche déchirée...

A peine Zaya avait-elle touché le sol de la canalisation qu'elle en fut extirpée par des bras puissants. En quelques instants, elle se retrouva dans la voiture et eut juste le temps de voir Oboloc reçevoir le couteau avant qu'elle ne démarre. Elle ne put s'empêcher d'avoir de le sympathie pour lui malgré le fait qu'il lui ait tiré dessus...
La rapidité de l'action n'avait pas permis à Zaya de voir qui l'avait sortie des égouts mais elle avait tout de suite reconnu la voiture de son ancien compagnon de rites sataniques et courses dans les sous-sols de la ville. Voyant que la blessure de son bras dégoulinait quelque peu, Zaya se fit un garrot avec sa ceinture.
Je crois que j'ai un peu sali ta banquette... On va où exactement maintenant ?